Le pire, c’est de croire que l’on sait… alors qu’on ne sait pas.

C’est peut-être l’illusion la plus dangereuse : celle de la fausse connaissance. Elle nous donne l’impression de maîtriser un sujet, de comprendre un domaine, alors que, dans le fond, on en ignore les fondements mêmes. Et c’est là que réside le vrai risque : ne pas savoir qu’on ne sait pas.

Prenons l’exemple de l’informatique. Beaucoup d’entre nous pensent « s’y connaître » parce qu’ils savent envoyer un e-mail – et en fait pas toujours dans les règles ! - naviguer sur Internet avec leur téléphone ou utiliser un traitement de texte sur leur lieu de travail.…

Mais l’informatique, ce n’est pas juste cliquer et taper. C’est un univers vaste, complexe, technique. C’est comprendre les langages, les architectures, les systèmes, la cybersécurité, les réseaux. Et bien souvent, ceux qui se pensent à l’aise ne font que survoler la surface.

Croire qu’on sait, c’est se fermer à l’apprentissage. C’est ne pas poser de questions, ne pas chercher plus loin, ne pas écouter ceux qui savent vraiment. C’est risquer de mal faire, de mal comprendre, de mal transmettre.
La vraie intelligence n’est pas de tout savoir, mais de savoir reconnaître ce que l’on ignore. C’est cette humilité-là qui ouvre les portes de la connaissance.

Voici quelques notions de base, c’est cadeau !